Affectant négativement la qualité de vie, le stress se reconnaît par différents symptômes. Ils portent sur le corps et l’esprit. L’organisme allume divers signaux qui vous indiquent de ralentir ou de marquer une pause. Voici quelques détails auxquels vous devriez prêter attention.
Les signes physiques du stress
Le stress est une réaction naturelle de l’organisme face à ce qu’il perçoit comme un danger imminent. Quelques hormones sont à l’origine de ce phénomène. Le cortisol et l’adrénaline tiennent éveillé. Ils mettent tout le corps en alerte. Ainsi, le cœur bat plus vite. La respiration s’accélère et la personne peut ressentir une boule au diaphragme. Des tensions apparaissent dans le cou. La gorge semble être serrée. Les glandes qui s’y trouvent sont concernées. Il devient difficile de s’endormir. Le manque de sommeil réparateur accentue la fatigue chronique. Certaines situations provoquent des maux de ventre inexpliqués. Le stress affecte différentes fonctions, dont la digestion. L’hypertension s’installe progressivement. Au bout d’un moment, les signes extérieurs tels que les éruptions cutanées et les pellicules capillaires apparaissent. Chez l’homme, l’emballement des hormones pourrait aboutir à une difficulté érectile. Les dames qui ont du mal à procréer devront se poser des questions sur les causes de l’infertilité. La piste du stress est à explorer.
Quelques changements au niveau cognitif
L’esprit n’est pas épargné par le stress. Il affecte les capacités cognitives. La personne éprouve beaucoup de mal à rester concentrée. Un trouble de l’attention (TDAH) pourrait être diagnostiqué. Chez l’enfant, cette pathologie se manifeste par une sévère difficulté d’apprentissage. Pour l’adulte, le même phénomène se produit par des étourdissements. Il ne parvient pas à se focaliser sur un sujet. Prendre une décision devient problématique avec une baisse considérable de la confiance en soi. Les repères habituels s’écroulent lorsque le stress découle d’un traumatisme ou d’un choc psychologique. Dans tous les cas, la mémoire décline. Des pans entiers du vécu pourraient être oubliés. Le manque de sommeil, la fatigue, mais surtout les fortes doses d’hormones malmènent les neurones. Des blocages dans la transmission des signaux bioélectriques entraînent l’apparition de TOC. Les troubles obsessionnels compulsifs se manifestent par des gestes répétitifs faits de manière machinale.
Les sentiments et les relations sociales sont affectés
Le stress est souvent associé à un sentiment de tristesse profonde. Certaines personnes se sentent accablées sans réellement connaître les raisons. Il y a également ceux qui changent d’humeur à cause d’un excès d’adrénaline dans le sang. Toujours sur la défensive, ces individus finissent par s’isoler. Ils attirent l’attention ou s’effacent complètement. L’entourage devrait remarquer des comportements sortant de l’ordinaire. L’inscription à un cours de bien-être procuré par un coach chevronné, comme sur https://stress.app/fr/ pourrait être salutaire. Les stagiaires se sentent déjà mieux après la première séance. La thérapie auprès d’un psychologue devrait aussi convenir, notamment en cas d’état dépressif. Les traitements à base d’anxiolytique sont parfois prescrits par le médecin de famille. Ce soignant pourrait orienter la réflexion vers les méthodes alternatives telles que la méditation, la prière ou bien la pratique d’un sport. Le service psychiatrie est envisagé en dernier recours. En effet, le stress est loin d’être anodin. Arrivé à un stade avancé, il déclenche des tendances suicidaires.